Celui là est pour Maïa, que je lis régulièrement, à prendre au quatrième degré, mais cela dit vu les écrits de la belle, il ne faut pas s'étonner de telles réactions :
@@J'aime regarder les ombres qui transpirent sur le mur
Je suis excité quand j'entends des pas dans le hall
Face à ton balcon j'ai une chambre avec vue
Et je te regarde...
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@@Je compose ton numéro chaque et tous les après-midis
Je marche devant ta porte quand tu dors la nuit
Et quand tu est seule je sais quand...
Tu éteints la lumière...
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@@Je vais venir près de toi
Oh, si près de toi...
Je vais venir près de toi
Tout près de toi...
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@@Tu cherches désespérément tes clefs
Je suis six ou sept pas derrière toi
Je suis si près de toi
As tu peur de moi ? Que sais-je de toi ?
Comment ai-je trouvé ?
Tu penses que je suis un imbécile ou une espèce de dérangé
Tu dis que je perds mon temps mais je sais quoi en faire
C'est aussi évident que le noir et le blanc
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@@Je vais venir près de toi
Oh, si près de toi...
Je vais venir près de toi
Tout près de toi...
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@@Je vais venir près de toi
Oh, si près de toi...
Je vais venir près de toi
Je suis comme un criminel affamé
Et ta protection est tellement minime
Tellement minime...
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